1 million d’euros pour Montereau !

event1 octobre 2021

Pour mener à bien ses projets, une commune se doit de trouver des financements. En la matière, Montereau mène très bien sa barque. Alors qu’il y a deux semaines, le maire obtenait près de 33 millions d’euros de l’ANRU pour le projet de renouvellement urbain de la commune, ce vendredi 24 septembre, il signait le tout premier Contrat d’Aménagement Régional en présence de Jean-Philippe Dugoin Clément, vice-Président du Conseil Régional en charge du Logement, de l’Aménagement durable des territoires et du Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF) Environnemental. Une subvention d’un million d’euros qui va permettre à la Ville de réaliser plusieurs chantiers.

 

Détails

En l’occurrence, la somme sera allouée à l’aménagement de locaux Place Eymard Duvernay pour y créer deux cellules commerciales et une fabrique entrepreneuriale, au réaménagement de l’ancienne Trésorerie pour y installer un nouveau poste de police municipale, un CSU modernisé et un pôle médical municipal, ainsi qu’aux réfections de la toiture de la Maison des Services Publics et des sanitaires et vestiaires du Centre technique municipal.

 

Discours

«Nous nous sommes fixés l’objectif de faire cofinancer au moins 50% et idéalement jusqu’au maximum légal de 70 ou 80% (selon les cas) les projets que l’on porte. Cela n’est pas toujours facile. C’est pourquoi nous mettons beaucoup d’énergie à bien monter nos dossiers. Toutes les communes essaient d’avoir des financements. Mais la concurrence est rude et elles n’y arrivent pas forcément» a déclaré le maire James Chéron avant de signer le précieux contrat. «à la Région, nous avons souhaité rééquilibrer territorialement les crédits qui étaient surfléchés sur Paris et sa micro-couronne et ainsi redonner une justice, une équité territoriale. Ici à Montereau, on mesure ce que représente l’engagement public» a poursuivi Jean-Philippe Dugoin Clément. Avant de conclure : «Je vous souhaite à tous beaucoup de courage, beaucoup d’énergie, de garder intact l’envie de travailler pour une ville qui a besoin que l’on porte ses dossiers, qu’on se batte pour elle».