Le tour des chantiers 2016 : «Cœur de Ville»

event8 septembre 2016

Montereau ou le mouvement perpétuel. Lundi 29 août, Yves Jégo a effectué la traditionnelle visite des chantiers en cours sur la commune. Au programme : opération «Cœur de Ville», travaux rue Port des Fossés, restructuration du Château des Amendes, constructions de logements rue des Arches et rue des Vignes, vestiaires du Stade Jean Bouin, résidentialisations et démolitions en Ville Haute. «La restructuration urbaine se poursuit avec des démolitions et des constructions un peu partout en ville» a-t-il expliqué aux journalistes présents. Compte tenu de leur importance, le 7/7 vous présentera chacun de ces projets au fil de ses éditions. Cette semaine, zoom sur l’opération «Cœur de Ville».

Le Projet

Face à l’Hôtel de Ville, 2 bâtiments comportant 43 logements s’apprêtent à sortir de terre. Et pas seulement, puisque Pôle Emploi projette d’y installer son agence. L’ensemble proposera enfin 2 locaux commerciaux dont les enseignes donneront sur la place qui portera le nom de Claude Eymard-Duverney, Maire honoraire de Montereau décédé l’an dernier. Enfin, pour l’anecdote, les Monterelais devraient y retrouver la célèbre statue Rebecca qui trônait autrefois sur la Place du Marché au Blé.

Point d’étape

Depuis la démolition complète des anciens bâtiments en novembre dernier, le chantier a déjà bien avancé. Après les travaux de terrassement en avril dernier, le gros œuvre a pu démarrer avec un léger retard en raison des intempéries. Les ouvriers procèdent actuellement à la réalisation du parc de stationnement en sous-sol. Sauf aléas, le chantier sera livré au 2e trimestre 2017.

Global

Avec la restructuration de la Place du Marché au Blé, l’opération «Cœur de Ville» s’inscrit dans un programme global de redynamisation de notre centre-ville. Dans ce même cadre, la commune va entamer prochainement la construction d’un nouveau parking à étage de 400 places à l’emplacement des anciens cinémas. «Cela va permettre de régler les problèmes de stationnement et d’ouvrir la voie à d’autres chantiers comme celui du grand théâtre ou encore la transformation de la Salle Rustic en marché couvert» confiait encore Yves Jégo. Et ce, «malgré les baisses de dotations de l’Etat qui pèsent sur notre budget, et notre volonté de ne pas augmenter les impôts».